vote du texte gagnant !

Voilà je poste vos textes ici, vous avez 1 semaine pour voter et élire la gagnant ^^ (pour ceux qui voudrait encore participer j'accepte les textes jusque minuit).

Le premier, celui de Lune d'Argent:

J'allais partir de la tanière quand Plume d'Argent, notre mère, m'appela :
-Brume Noire ! Veux-tu emmener Aren, avec toi ?
Brume Noire, c'était moi . Aren, ma soeur . Moi, je voulais être seule, aujourd'hui . Je n'étais presque jamais seule, à cette époque, et j'étais une petite renarde aventureuse qui voulait découvrir le monde et faire ce que je voulais .
-Brume Noire ! Brume Noire ! On y va ?
Ces paroles m'arrachèrent à ma rêverie . C'était Aren, cette petite boule de poils blancs, qui venait de parler . Moi, j'étais toute noire .
-Oui, oui ...lui répondis-je .
Nous partîmes . Je ne savais pas ou aller . Nous étions solitaires, à l'époque . Nous marchâmes environ 3 heures, sans parler, sans s'arrêter . J'essayais de l'épuiser . Soudain, je me mis à courir . Courir très vite . De toute la force de mes jambes . Bientôt, je ne voyais plus Aren .
*Ouf ! Enfin tranquille !*
Mais mon soulagement ne dura pas longtemps :
-Surprise !
C'était Aren, qui bondissait justement d'un buisson .
Je lui tournât le dos .
-Ben qu'es qu'il y a ?me demanda-t-elle .
J'attendis un moment avant de dire sèchement :
-On rentre .
-Hein ? Bon d'accord ...
Et nous rentrâmes .

Le second texte, celui de Aïsha:

_ Aïsha !
Mince, ma mère m'appelait. J'avais envie de lui crier : « Pas maintenant ! » mais je devais respect et obéissance à celle qui m'avait mit au monde. Flûte. Je me retournais et avançai d'un pas traînant, lent.
_ Aïsha ! Tu m'as fait peur, grognait ma mère. Où étais-tu encore passée ?
Je ronchonnais un « quelque part » guère poli. Orante -c'était ma mère- soupira et me répéta encore une fois, la troisième fois de la journée :
_ Aïsha, je suis ta mère ! Tu peux tout me dire ! C'est une relation de confiance entre toi et moi...
Je n'écoutais pas la suite. Je la connaissais par cœur, cette tirade ! Mais comment répondre ? « Je veux découvrir autre chose que le froid de cette grotte ou tu me tiens enfermée ? » « J'en ai marre, je veux partir et là, justement, je me préparais ? » Fallait-il lui mentir de peur de la peiner ? Je choisi de me taire et je commençais à me nettoyer quand une phrase d'Orante me fit sursauter.
_ Aïsha, je ne sais pas ce que tu as... Mais j'ai décidé d'être moins stricte. J'ai remarqué que tu voulais partir ! Alors je vais te laisser emmener ta jeune sœur dans le verger, à deux pas d'ici.
Mes poils se hérissèrent et je restais, bêtement, la gueule ouverte, la langue pendante. Le verger ? Pour y faire quoi ? Il n'y a rien, là-bas, à part des fruits dégoutants et des rochers visqueux ! Et ma sœur ? Jaïna savait à peine dire « Mère » ! Si je partais, ne serais-ce qu'une journée, et qu'elle était dans mes pattes, elle allait glapir et, mine de rien, elle glapit fort ! Elle allait alerter tout le monde ! Oh, zut, je devais dire adieu à mes projets de balade... J'en avais presque les larmes aux yeux ! Je pensais d'un coup à fermer la gueule, à reposer ma patte et à lisser un peu mon pelage. Orante, me voyant me lécher rapidement, sourit -oh non, c'est mauvais signe...- et me dit :
_ Je suis heureuse de voir que cela ne te dérange pas plus que ça. Je vais appeler Jaïna. A tout à l'heure, mon renard en sucre !
Cette fois, je fermais la bouche. Aïe ! J'aurais dû retirer ma langue ! Je me couchais, les oreilles en arrière, et regardai ma mère avec mon regard le plus mignon, le plus sage et le plus adorable, l'air de dire qu'elle était ma mère préférée- quoique la seule que j'ai eu. Mais elle me tournait le dos et mon père entra. Me voyant,il se mit à rire du rire sonore qui, autrefois, me faisait si peur.
_ On dirait une fraise des bois qui supplie pour ne pas être cueillie ! Allez, debout, ton pelage va prendre la poussière.
Snif, snif. Ouin. Peine perdue. Rien à faire. Re-snif. Re-ouin.
On m'aurait conduit à l'échafaud, j'aurais fais la même tête... enfin , je pense, puisque je ne suis jamais aller à l'échafaud.
Un peu plus tard...
_ Sha ! Sha ! Viens !
Jaïna courait dans tout les sens, regardant un papillon empêtré dans de la vase, puis bondissant plus loin observer un puceron se faire dévorer par une coccinelle. Elle glapissait de joie. Je glapissais aussi, mais de malheur. Je pensais à tout ce que j'avais prévu de faire : longer la frontière des Terres de l'Ombre, m'aventurer dans la terre de l'Eau, croiser des loups, leurs parler. Puis monter sur le dos d'un cheval qui passerait par là et galoper jusqu'à trouver un coin tranquille pour manger.
Je regardais Jaïna courir d'un œil morne, vide, sans sentiment derrière.
Soudain, une idée me vint. Oh, une idée cruelle, mais qui me permettrais au moins de manger un peu. Peu-être un crocus ? Père en ramène parfois, mais il les mange et moi, et bien... je n'est jamais goûté. Le monde est injuste. Snif.
Bref, une idée terrible me vint. J'allais laisser Jaïna-la-morveuse ans son petit verger et moi, je m'en vais ! Je reviendrais dans quelque minute pour voir ce qu'elle fait et si elle ne glapit pas trop fort et je file, ni vu, ni connu ! Oh, je suis un génie. Youpi ! Applaudissez moi !
Je toussais pour attirer son attention.
_ Sha madade ? demanda Jaïna, inquiète, en détournant la tête.
_ Non, j'ai juste un peu faim. Je reviens dans un instant. Si tu veux tu peux dormir un bon coup !
Elle bailla. Encore mieux que prévu ! Si elle dort elle ne glapira pas et ne donnera pas l'alerte ! Oh, je suis géniale ! Je commençais à partir sur la pointe des pieds, mettant au point mon emplois du temps et ce que j'allais faire. Il me restait une bonne après-midi pour voyager. J'allais enfin voir un cheval ! Des loups ! Peut-être même un cerf ? Oh, que je suis géniale ! Je m'adore !
Bon, première chose à faire, vérifier que Jaïna-la-morveuse dorme à pattes fermées. Ensuite... On verra.
Je sorti rapidement le museau pour apercevoir ma jeune sœur... Elle n'était pas dans ma ligne de mire, je me tordis le cou pour la voir. Elle n'était pas là ! Mon sang se glaça. Où était-elle ? Elle sais à peine marcher ! Et si... et si on l'avait enlevée ?
Je courais, la cherchant, l'appelant en glapissant d'effroi, tendant l'oreille pour entendre sa voix. Rien. Rien du tout. Oh non,non, non !Tout était de ma faute ! Je n'aurais pas dû la laisser seule ! J'en voulais aux cerfs, aux loups, aux chevaux, qui m'avaient donné envie de les rencontrer et d'abandonner ma pauvre sœur sans défense ! Je ne suis pas un génie, finalement. Même si je la retrouve, je serais officiellement la pire sœur au monde de TOA ! Je m'affolais, de plus en plus. Je m'en voulais terriblement ! Je m'assis sur une pierre. Je me fichais bien de savoir si elle était visqueuse ! Les larmes coulaient le long de mon pelage roux. Ma Jaïna... Ma sœur... Comment est-je pu ? Je cherchais sans grande conviction pendant trois heures au moins. Le soleil commençait à se coucher. Je m'assis, ou plutôt m'affaissait, sur le sol dur. Une flaque se forma bientôt sur le rocher. Elle ne grandit pas plus car je n'avais plus de larmes à pleurer. J'avais un grand trou dans le cœur. Je ne sais pas vraiment comment décrire ce que j'ai vécu à ce moment-là.
Soudain, une voix guillerette se fit entendre. Elle me parlait !
_ Sha ? Plus faim, Sha ?
JAÏNA ! Oh, ma Jaïna ! Elle sortit de derrière un buisson tandis que je me jetais dans ses bras. Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Ma Jaïna ! Ma Sœur !
Elle me repoussa gentiment en disant :
_ Plus faim, Sha ? Plus faim ? Encore ?
Puis elle me tendit un petit bouquet qu'elle tenait bien serré dans ses griffes :
_ 'Deau ! 'Deau pour Sha ! Crocus! Sha encore faim ? Faim, Sha ? Bons crocus !
Je ris, engloutis ses crocus et lui faisant promettre de ne plus jamais recommencer. Là, elle dit une chose qui m'étonna vraiment :
_ Plus recommencer, jamais ! Aime trop Sha ! Sha pas pleurer !
Elle tendit ses pattes tant qu'elle pouvait.
_ Bisou ?
Je l'embrassais sur ses deux joues pleines de poils. Elle sentait bon. Elle sentait l'Amour.
Je la ramenais à la maison, riant quand elle disait :
_ Encore faim ? Chercher crocus pour Sha ? Faim ? Bon crocus !
Finalement, ce n'était pas si mal d'avoir une sœur. Peut-être qu'un jour, nous irons ensemble voir les cerfs, les chevaux et les loups ?Peut-être qu'un jour, nous rejoindrons, ensemble, un clan ?
En tout cas, si elle m'énerve encore, je ne l'embêterais plus !
…
… Quoi que...?

Et enfin le dernier texte, celui de Plume Légère:

En été, tout abonde : la nourriture, les fleurs, les naissances, et toutes autres choses amusantes. On peut jouer avec des lemmings, chasser les petits oiseaux, courrir après les insectes, ou alors jouer dans la rivière ! Je m'amusais, moi, avec mon frère. Mais là, il était parti avec ma mère, à une initiation Guérisseur. Ma mère, n'ayant pas eu de petits depuis l'été dernier, voulais devenir une persone sauvant des vies, soignant les petites blessure que se font ses louveteaux, ou les grands maux du chef de clan. Elle allait devenir une personne bien. J'en était sûre. Mais en tout cas, il fallait en profiter. Elle n'étais pas là pour m'interdire d'aller ici ou là, ou pour m'embêter à me lêcher dès que des petites-boules-qui-piquent sont coincés dans mon pelage de petit louveteau. Je pouvais avoir la belle vie, pendant une dizaine de jours !
Je partis alors, direction sortie de la grotte du clan. Trottinant, la tête haute, j'avertissait tous les louveteaux sur mon passage, j'en étais fière : je quittais le campement pour la belle aventure. Tous chuchottaient des émerveillements quand ils me voyaient. Malheureusement, j'avais négligé un point. Le chef du clan. Il ne me laisserai jamais sortir. Le voila d'ailleurs. Planté devant l'entrée, me regardant agressiement. Je détournai mon regard, en signe de supériorité de mon ainé, et cherchais à le fuir. Pour lui montrai que j'acceptai tous jurons à venir, je me couchai, museau entre les pattes, le regard fuyant le sien. Il riait. Il n'avais plus l'air faché.
-Ne t'inquiète pas ! Pour être sûr qu'il ne t'arrivera rien, et d'être prévenu en cas de problème, je mettrai ce louveteau à ta charge.
Et il s'écartai, laissant place à un tout petit louveteau de cette année. *Eh mince...* Je n'avais pas la moindre envie de me la jouer jeune mère ! Moi qui détestai les autre louveteaux ! Par contre, lui avais l'air de m'arécier. Il s'approchai de moi, collant sa truffu humide dans mes poils de nuit. *Au secoooouuuurs !* D'un coup de tête, je le poussai ailleurs. Mais le chef ne sembla pas aprécier. C'était son fils. *RE-mince...*
Maintenant, les autres louveteaux riaient de moi. Je marchai doucement, tête basse, mais le regard obstiné, devant un louveteaux qui faisait le quart de ma grande taille. Tous riaient, pas un restait calme, ou admiratif. Et puis, quelle idée de me coller un si petit louveteau aux basquets !
Lorsque nous sortîmes de la grotte, je vis, plus loin, un petit ruisseau. Que les plaines étaient grandes vues de la haut ! Des plaines verdoyantes, des champs fleuris, des cascades et des mers, des montagnes rocailleuses, ou encore des plateaux secs... Ces grandes étendues que je n'avais jamais vues...pourquoi ma mère me les avait caché depuis si longtemps ? Pourquoi ne pouvais-je aller chasser avec elle sur ces terres de bonheur ? Pourquoi...pourquoi faut-il que j'ai un louveteau microscopique avec moi pour les découvrir ? Je n'en savais rien. Mais il n'allait pas m'embêter longtemps. Je descendis du contrefort en pierre contiguë à notre grotte, uis courrut le plus vite possible. Il n'arriverai surement pas à suivre. Le voila d'ailleurs qui pleurait en attendant que je le fasse descendre. Le pauvre. Je revins vers lui, pour descendre plus doucement, et pour secher ses larmes, déja plus grosses que lui, me semblai-t-il. On avançait vers ce petit ruisseau, que nous avons réussi à atteindre au bout d'une petite heure, à une allure des plus lentes. Puis, une idée me vint en tête. Je m'arrêtai, à côté de l'eau, l'appelant, qu'il vienne me rejoindre.
-Comment tu t'appelle, microbe ?
-Je ne suis pas un microbe...je suis Nerl. Si tu ne joue pas avec moi, je le dirai à mon papa. Et il va te punir.
*Oh non...*
-Viens, on va dans l'eau, c'est très rigolo, l'eau !
Je plongeai, sans lui avoir donné le temps de répondre. Le petit me suivait, nageant comme un petit chien. *Tu vois que c'est marrant....pas pour très longtemps !*
Je sortis rapidement, lorsqu'il fut tourné, puis disparut entre les buissons.
Je courrais, le plus vite que je pus, essayant d'arriver à un autre endroit avant qu'il pleure. Trop tard. Il hurlait, et risquait d'alerter la meute. Hors de question. Pour faire comme si de rien était, j'attrappai une plume, puis revins vite vers lui. Je la déposai à côté de Nerl.
-Je suis allée chercher une plume. C'est rigolo, une plume !
Le petit gris ne fit ni une, ni deux, et sauta sur la plume, qui s'envola. Il courrut à sa recherche, mais trébucha sur une racine. *Bien fait !*
Je repartis, dans une autre direction, vers le lac, cette fois. Je courrais, sautait derrière un buisson, mais bizarrement, je n'entendait pas Nerl. Il aurait dû hurler, mais non.
Arrivée au lac, je m'en voulais. Le puauvre, je n'aurais pas dû l'abandonner. Qu'allait penser le chef de moi ? Il me battrai, le dirai à ma mère, ou alors me mettrai sous la garde de Patte Blanche...et elle me traiterai comme un bébé. Sans attendre, je me remis en marche, vers le "Microbe". J'arrivais à ses cotés, il s'était coincé la patte sous la racine, et ne bougeait plus. Sa tête avait heurté une pierre, et il s'était fait une belle plaie. Il saignait abondement. *Que dois-je faire ?* La pluie tombait fortement,encore un autre problème.
Sans attendre, je repartis vers la meute, aussi vite que je pus. Mes petits coussinets me brûlaient, mais il fallait que je préviene le chef. En dix minutes, je le vis, couché sous un arbre. Ma mère m'avais dis qu'il vénérait la pluie.
-Chef, ton fils est sans-souffle, coincé sous une racine !
-Comment ? J'y vais...
Avec une force impressionante, il partit. Sa vitesse fulgurante l'emmena près du ruisseau en quelques minutes seulement. Quelle vitesse !

Le chef revint, un petit louveteau, les yeux clos, sur son dos. Il le posa dans la grotte sous les regards intrigués de la meute. Moi, Plume Légère, dit que je ne ferai plus jamais cela. Il appella un guérisseur, qui, en quelques secondes, le fit revenir à la vie. Ouf...

Ma mère revint plus tôt que prévu...Et je me blottis contre elle, qui me sècha, à coups de sa langue rapeuse.

perso j'ai voté pour le 2 je l'avoue il m'a beaucoup fait rire ^^ je reconnais tout à fait la grande sœur tyrannique XD

Voilà le délai est écoulé et la gagnante est......(roulement de tambours)....... PLUME LÉGÈRE !!!!!!!
Bravo bravo avancez-vous sur la scène pour remercier le public ^^

(se tape un délire là)

Youpi-nours-bouchi-merchiw xD

Vui Merchiw chers membres <3

voici votre prix ^^ (pst on a toujours pas trouvé le prix)

Merci, merci !

*Soulève un objet invisible, et le montre au public*

xD

*acclamation de la foule en délire*

quelles sont vos impressions après avoir remportée ce fabuleux prix ? (qui t'as pompé toute ton inspi pendant une semaine mdr)

Hum, mes impressions ?
Vous êtres des pouilleux et moi la reine
Je n'aurai pas remporté sans nos admirables membres

(Bonne question, tien, faut que j'y réfléchisse xD) *Cours au frigo prendre du chocolat x) *

fan hystérique: *plumy je t'aiiiiimmmmmeeeee !!!!*

oui oui calmons nous ma chère ^^ sécurité!

(chocolat ? grrrr mdr va y pense c'est bon pour ce que tu as)

Qu'ai-je ? Une partie complètement dérèglée ? Oui, je sais xD
C'est bon le chcolat quand on a du mal à se concentrer pour préparer un discours de trois lignes pour ses chèrs membres x)
*Mais je saaaiiiiiis que tu m'aiiiiiiiiiiiiime ! xD*

Sinon, t'a vu, mon frère est de la partie sur TOA ^^ (Black Hell, sortit tout droit de sa création x))

oui j'ai vu ^^ c'est mignon tout plein (déteste les enfants *toussote* mdr)

Le pauvre

*Tant mieux *

Qu'est-ce qu'on ferai pas à ceux qu'on déteste xD

on ne le dira pas XD (cache ses armes de torture sous le lit)